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Les orages :
formation Orage : définition On désigne
en principe sous le nom d'orage toute perturbation atmosphérique donnant lieu Ã
des manifestations électriques discontinues telles que les éclairs,
accompagnées de tonnerre sous forme d'un bruit sec ou d'un roulement sourd et
éventuellement de précipitations souvent intenses sous forme de pluie, de grêle
ou de grésil. Les nuages
d'orage se développent à partir de cumulonimbus ou d'agrégats de cumulonimbus qui
peuvent contenir une centaine de milliers de tonnes d'eau, de grêlons et de
petits cristaux de glace. Ils diffèrent essentiellement des nuages d'averse,
d'abord par l'échelle même de leur expansion verticale et horizontale, mais
surtout par le fait qu'ils donnent naissance à des phénomènes électriques. Les types de temps favorables à la formation d'orages Deux grands
types de temps génèrent la formation d'orages. L'orage localisé Il se forme
en été, lorsqu'il fait très chaud, avec un fort ensoleillement, et peu de vent.
Le sol très chaud favorise alors l'ascendance de l'air. Le front orageux Un front
froid au sol force l'ascendance d'une masse d'air chaud qui se déplace. L'air
chaud est alors soulevé en altitude générant une énorme masse convective qui
développera plusieurs cellules orageuses. Le nuage d'orage : le cumulonimbus L'extension
verticale considérable des nuages d'orage, qui atteignent fréquemment la
tropopause (entre 8 et 16 km d'altitude suivant la latitude) et parfois même la
dépasse, exige en règle générale pour leur formation des masses d'air instable,
humide et chaud, donc de forts gradients de température sur des épaisseurs
importantes. Structure et développement du nuage d'orage Si la durée
moyenne de vie d'un cumulonimbus modéré générateur d'averses est d'une
vingtaine de minutes, celle d'un cumulonimbus orageux est de l'ordre d'une ou
deux heures. Le développement Dans la
phase de développement, le nuage, plus chaud que l'air ambiant, monte
rapidement ; il accroît l'instabilité propre de la masse d'air originelle au
fur et à mesure que la vapeur d'eau se condense en altitude. La chaleur latente
de condensation (la condensation dégage de la chaleur) vient ainsi prendre le
relais et le nuage atteint rapidement des altitudes où la température
extérieure est très au-dessous de 0 °C. Schéma des
trois phases dans le cycle de vie du cumulonimbus. Ce schéma un peu simplifié
du nuage d'orage correspond à des structures isolées de cumulonimbus, de
développement relativement modéré pour un nuage de ce type. En fait, on se
trouve le plus souvent en présence, dans le même nuage, d'un amas imbriqué de
cellules ascendantes et descendantes. Seul l'usage du radar permet de préciser
la structure interne de ce conglomérat de nuages orageux dont la couverture au
sol peut atteindre, dans les orages frontaux, des dizaines et parfois des
centaines de kilomètres carrés. La maturité Lorsque
l'accumulation de l'eau, à l'état solide ou liquide, devient telle que les
courants ascendants ne peuvent plus la supporter, la pluie est prête à tomber
et la phase de maturité commence avec les premières précipitations. La dissipation Les courants
ascendants et descendants coexistent ; ceux-ci finissent par l'emporter, et la
phase de dissipation prend place. Les précipitations qui viennent de tomber au
sol s'évaporent, refroidissant les basses couches de l'atmosphère et
contraignant donc l'ascension. Cette
dernière phase marque la fin de l'orage qui aura duré, la plupart du temps,
environ 20 minutes. Exceptionnellement, certains orages peuvent durer plusieurs
heures. L'orage : les éclairs L'éclair L'éclair,
phénomène optique visualisant les mécanismes de décharge, peut se produire
indifféremment soit entre charges de signes contraires, réparties entre
cellules voisines ou dans une même cellule orageuse, soit directement entre la
Terre et les charges réparties dans le nuage. La couleur
de l'éclair renseigne
sur la composition de l'air ambiant :
Environ 80%
des éclairs se produisent entre nuages ou au sein du même nuage, 20% du sol
vers le nuage, leur longueur varie entre 100 m et 20 km avec une vitesse
moyenne d'environ 40 000 km/s. Le tonnerre Le bruit
violent qui accompagne l'éclair s'appelle le tonnerre. Il est dû à l'air
chauffé et dilaté par la décharge électrique. On peut
calculer sa distance par rapport à un orage en se basant sur le temps qui
sépare l'éclair du tonnerre. Lorsque l'on aperçoit un éclair, on compte en
secondes le temps qui le sépare du coup de tonnerre. On divise ensuite ce temps
par 3 pour obtenir une distance approximative. Risques et
conséquences des orages Les précipitations Les
précipitations associées à un orage sont souvent intenses, elles durent environ
un tiers du temps de l'orage. Parfois, elles prennent la forme de grêle qui
reste un problème important dans l'agriculture, les parcs et jardins, les
serres... De plus, les averses soudaines diminuent parfois considérablement la
visibilité des automobilistes et/ou entraînent la formation d'une nappe d'eau
de plusieurs centimètres d'épaisseur sur la chaussée à l'origine d'accidents de
la route (Ã cause de l'aquaplanning). La foudre Les effets
dus aux impacts de foudre directs sont certes importants mais l'essentiel des
dégâts est dû aux ondes électromagnétiques rayonnées qui induisent sur plusieurs
dizaines de kilomètres des surtensions et des micro-coupures
sur les lignes d'alimentation électrique et les télécommunications. Ces
surtensions endommagent notamment les compteurs électriques, les téléviseurs,
les ordinateurs, les téléphones... C'est pourquoi il est recommandé de
débrancher les appareils électroniques et téléphoniques lorsqu'un orage
approche. Quelques consignes pour se protéger de la foudre Ces
consignes sont en partie issues des recommandations de l'Association Protection Foudre, qu'il conviendra de consulter pour
éviter au maximum le risque de foudroiement. En montagne
En mer Les orages
sont peu fréquents en mer mais particulièrement redoutés car la foudre frappe
les points les plus hauts et donc les mâts des navires. En forêt Lorsqu'on
est surpris par un orage en pleine forêt, il faut s'écarter le plus possible
des troncs, et éviter la proximité des branches basses. Cette position minimise
les risques. En tous lieux
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